No science, No life

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Unordered List

jeudi 3 mars 2016

3 Habits with which you destroy your metabolism everyday


Metabolism is made up from lot of chemist’s reactions which keeps us alive and allows to our body to work normal. But, some of our habits can significantly to threaten. Find out which habits are they…
You didn’t sleep enough
To function normally, on your body all it need it rest. Shortage of sleep can cause a lot of issues, as slow expenditure on calories, destroying of hormone level in the organism. Also, if you sleep less than 7 to 9 hours a day, your body will process sugar more difficulty, but also it will raise felling for food.  Several nights without sleeping won’t harm you, but if that be one of your habits then you can expect big problems.

Start your day dehydrated
Dehydration is shock for organism; she can appear right after you wake up. During the night out metabolic functions are slowing down and you’re not entering water in those 8 hours while you sleep. Because of this our body is waking up dehydrated and it needs morning refreshing. To deal with this situation, right after you wake up you need to drink 30-50 ml water. This routine will give you more energy, will reduce felling for food and will stop flatulence. Also, avid to drink a lot of coffee because that also can cause dehydration.
Sitting too long
After 8 hours’ sleep, most of you are transferring from bed to chair and work 8 more hours or more. This habit is silent killer on metabolism, because our body is not created for this kind of routine. To long sitting is slowing down the circulation, but also whole metabolism, and because of this can cause indigestion, flatulence and keeping water in body. When you’re at work, try to get pause on each hour for few minutes on the way you can walk through hall, or you’ll stretch or make some exercises.

mercredi 2 mars 2016

L'astéroïde du 5 mars 2016 ne heurtera pas la Terre



2013 TX68. C’est le nom de cet astéroïde découvert en 2013, lorsqu’il était passé à une distance confortable de la Terre (2 millions de km) le 6 octobre de cette même année. Pour sa nouvelle visite, les spécialistes de la Nasa estiment qu’il n’y a aucun risque de collision même si sa future trajectoire est très difficile à déterminer en raison du manque d’observations. Effectivement, les astronomes ont du mal à cerner l’itinéraire de 2013 TX68 qui pourrait frôler la Terre à seulement 17.000 kilomètres, soit bien au-dessous de l’orbite

géosynchrone où sont positionnés les satellites de télécommunication à 36.000 kilomètres d’altitude. Mais l’astéroïde pourrait tout aussi passer bien plus loin jusqu’à 14 millions de kilomètres de notre planète. Une très grande incertitude donc, due au fait que les astronomes ont eu un créneau de temps trop court pour l’observer lors de sa découverte. C’est pourquoi, ils envisagent tout de même un risque de collision avec la Terre, pas pour ce prochain passage en mars 2016 mais pour celui d’après, prévu le 28 septembre 2017. Un risque minime toutefois puisque la probabilité d’un impact est pour le moment de 1 sur 250 millions et ce chiffre sera réévalué après le 5 mars et de meilleures observations. "Les probabilités de collision sont beaucoup trop faibles pour être une préoccupation réelle. Et je compte bien sur les prochaines observations pour les réduire encore", affirme ainsi Paul Chodas, du Centre de la Nasa pour les NEO (Near-Earth Object) chargé de surveiller les dangers venant du ciel.
TCHELIABINSK. Même si 2013 TX68 venait un jour à emprunter une orbite d’interception avec la Terre, les risques liés à cet astéroïde sont minimes. Vu sa taille, une trentaine de mètres de diamètre, il sera probablement désintégré lors de sa rentrée atmosphérique. Ce qui donnerait alors lieu à une pluie de météorites (formés par le reliquat de sa désintégration) comme celle qu’a pu connaître la ville russe de Tcheliabinsk en 2013, lorsqu’un astéroïde de 20 mètres de diamètre s’est vaporisé au-dessus de l’Oural. L’événement avait quand même provoqué quelques dégâts et fait près de 2.000 blessés. Avec 10 mètres de diamètre supplémentaire, le souffle provoqué par 2013 TX68 serait deux fois plus important, mais la Terre étant recouverte à 70 % d’océan, il y a de fortes chance qu’un tel événement se produise au-dessus des eaux.

dimanche 28 février 2016

Spider


Home is where the heart is. And it’s also where the beetles, spiders, ants and flies are.
study published Tuesday in the journal Peerj by researchers at North Carolina State University found that we share our houses with over 500 species of arthropods — you know, insects, spiders and other creepy crawlies. In the first study of its kind, the researchers visited 50 homes near Raleigh, North Carolina and searched high and low for multi-legged cohabitants, ending up with more than 10,000 samples.

Unexpected Insect Diversity

Analyzing the collected samples one by one turned up a staggering array of arthropods, comprising not only common species like house flies and dust mites but also crickets, aphids, lacewings and hundreds more. In all, they found 6 classes of arthropods with 34 orders and 304 families represented. Houses averaged 62 families apiece. Although they found over 500 species in homes in total, only a little more than 200 were present in any one house, with an average of around 100.

All of the 50 houses sampled contained ants, beetles, flies and spiders, although the species of each varied. Common arthropod guests included silverfish, cockroaches and mosquitos, and all but two percent of households had some form of lice. In all, only 5 out of 554 rooms sampled turned up no results at all.
Here’s more unsettling news about your segmented roommates: Researchers noted that their results are based on conservative estimates of arthropod populations, meaning there are likely many more species represented in houses across the country. They also searched only in open spaces, leaving out insect-friendly locales such as the insides of walls and underneath furniture.
The researchers say that some of the most common species they found in the houses studied have also been discovered at archaeological sites, indicating a long history of cohabitation with humans.


Leopard


VICTIMES. Une double rangée de clôtures coiffées de barbelés comme une longue balafre sur les montagnes enneigées du Cachemire : cette frontière, l'une des plus militarisées au monde, a sectionné en deux le territoire de la faune de la région. Construite en 2007 par l'Inde, l'infranchissable barrière court sur des centaines de kilomètres au milieu des sapins, empêchant les groupes armés séparatistes de s'infiltrer depuis le Pakistan voisin. Mais elle bloque aussi la migration de nombre d'espèces autrefois abondantes dans la région, entraînant ainsi leur déclin, selon des experts en vie animale. À défaut d'écumer librement la région himalayenne, des ours bruns ou des léopards, coincés côté pakistanais, en sont réduits en période de disette à s'approcher des villages, ce qui leur coûte souvent la vie...

Léopards, ours et ongulés disparaissent

Dans le hameau perché de Arang Kel, à plus de 2.500 mètres d'altitude, les habitants disent ne pas avoir d'autre choix que d'abattre les prédateurs pour préserver leur bétail. "Nos moutons, chèvres et vaches sont vulnérables et parfois (les animaux sauvages) attaquent aussi les humains", explique à l'AFP Roshan Khan, un villageois sexagénaire. "C'est pour cela qu'ils sont abattus". "Ils sont contraints de s'approcher des zones habitées pour chercher de la nourriture et se font tuer par les gens lorsqu'ils attaquent le bétail", confirme Yousuf Qureshi, ancien directeur du service en charge de la faune dans le Cachemire pakistanais. Quelque 35 léopards et au moins cinq ours ont été tués de cette façon depuis 2007, opine Naeem Dar, qui travaille également à la direction de la faune et des pêcheries du Cachemire pakistanais. Plusieurs espèces ont complètement disparu du côté pakistanais de la ligne de démarcation, déplorent les responsables. C'est le cas du markhor, une espèce de chèvre sauvage dotée de longues et majestueuses cornes en forme de ruban. "La barrière fait obstacle et leur migration (depuis le Cachemire indien) a pris fin, déplore M. Qureshi. C'est une tragédie". Même chose pour le hangul, ou cerf du Cachemire, autrefois très présent et aujourd'hui "totalement disparu" du côté pakistanais, souligne-t-il.

Victimes collatérales

La barrière est non seulement électrifiée mais peut atteindre près de quatre mètres de haut en certains endroits. La zone est également parsemée de mines antipersonnel, de capteurs thermiques et de mouvements, de systèmes d'éclairage et d'alarme. L'Inde et le Pakistan, nés de la partition de l'Inde britannique en 1947 et tous deux en possession de l'arme nucléaire, n'ont jamais réussi à s'entendre sur la question du Cachemire, que chacun revendique dans son intégralité. Ils se sont livré deux guerres en son nom, et malgré l'actuelle ligne de démarcation tracée lors d'un cessez-le-feu en 2003, aucune solution au conflit n'est en vue. L'armée indienne se félicite de l'efficacité de la barrière contre les infiltrations de séparatistes depuis le Pakistan. Les entrées illégales ont été réduites "à quasiment rien", estime le lieutenant-général indien S K Dua, commandant du 15e corps d'armée, basé à Srinagar. Mais "la barrière sur la ligne de démarcation a perturbé l'habitat des animaux et limité leur territoire", déplore Muhammad Arshad, cadre d'une ONG locale, Himalaya Welfare Organization.
La barrière n'est pas la seule menace pesant sur la vie sauvage. Les tirs échangés occasionnellement entre les soldats des deux camps effraient les animaux. "Une fois qu'ils ont abandonné leur habitat, ils ne reviennent plus", souligne M. Qureshi. Cet habitat souffre aussi de la déforestation. Les hivers sont rudes dans la vallée de Neelum et les habitants n'ont d'autre choix que de se chauffer au bois. À l'époque de la création de l'Inde et du Pakistan en 1947, la forêt couvrait 24 % du sol du Cachemire pakistanais. Cette proportion est tombée aujourd'hui à 11 %. Pour les villageois, l'angoisse ne se limite pas aux attaques de prédateurs sur leur cheptel : ils disent craindre aussi la prison ou des amendes pour braconnage s'ils abattent les animaux sauvages. "Il faut trouver une solution", plaide le villageois Roshan Khan. La solution "pour protéger ces espèces", selon M. Quereshi ? "Il faut que l'Inde et le Pakistan fassent la paix dans la région et démantèlent la barrière". Autant dire que l'espoir est mince...

samedi 27 février 2016

Les requins


Poignards, scies découpeuses de chairs... les dents des requins sont des armes redoutables ! Et il ne faut pas compter sur la mauvaise hygiène bucco-dentaire des squales, ni sur leur tendance à mordre dans des corps solides très durs, pour leur laisser des trous dans le sourire : leurs dents se renouvellent en permanence. Aucun risque donc pour leurs malheureuses proies de croiser un vieux requin édenté... De fait, ces prédateurs disposent d'une rangée de dents extérieure. Mais ils possèdent également d'autres rangées de dents, sur le rebord interne de leur mâchoire. Seule la rangée extérieure est fonctionnelle. Les autres viennent remplacer chaque dent tombée, un peu comme si elles étaient sur un tapis roulant. Chez les requins, nul besoin de rendez-vous chez le dentiste. De quoi rendre plus d'un humain jaloux ! Quel est le secret du renouvellement permanent de la dentition des requins ? Des chercheurs de l’université de Sheffield (Angleterre) ont découvert les mécanismes biologiques qui sous-tendent cette géniale mécanique. Peut-être une piste pour des traitements permettant de les "réveiller" chez l'homme. 

Les gènes des dents perpétuelles

L'étude, publiée dans la revue scientifique Developmental Biology en février 2016, a permis d'identifier un réseau de gènes grâce auxquels les requins développent des dents tout au long de leur vie, ainsi que le rôle d'un certain type de cellules (des cellules épithéliales) situées dans leurs gencives dans l'effet "tapis roulant". Il s'agit de quatre gènes (Hh, Wnt / β-caténine, Bmp et FGF), qui existent chez les animaux depuis 450 millions d’années. Nous les possédons donc également. Seulement nos cellules épithéliales ne seraient activées que deux fois dans notre vie : au premier âge, lors de l'apparition des dents, et pendant l'enfance, lorsque les dents de lait sont remplacées par les dents définitives. Les chercheurs estiment donc envisageable de pouvoir "réactiver" ces cellules à des fins thérapeutiques. Reste à trouver comment modifier à l'envie l'expression de ces gènes.

vendredi 26 février 2016

Gorillas


Gorillas sing and hum when eating, a discovery that could help shed light on how language evolved in early humans.
Singing seems to be a way for gorillas to express contentment with their meal, as well as for the head of the family to communicate to others that it is dinner time.
Food-related calls have been documented in many animals, including chimpanzees and bonobos, but aside from anecdotal reports from zoos, there was no evidence of it in gorillas.

To see if they make these noises in the wild,Eva Luef, a primatologist at the Max Planck Institute for Ornithology in Seewiesen, Germany, observed two groups of wild western lowland gorillas in the Republic of the Congo.

jeudi 25 février 2016

Javan tiger


The Javan tiger was a big cat, but not in comparison to other tiger species. The males weighed in at 220 to 310 pounds and the females averaged 170 to 250 pounds. Their small size was thought to be attributed to the size of the available prey in their native land of Java, Indonesia. The theory is that the smaller the prey, the smaller the predator.


At one point, the Javan tigers inhabited all of Java. In the mid 1800s to mid 1900s the native people viewed these tigers as pests and chased them off to the remote mountainous areas. By 1972, the remaining tigers were sectioned off to the Meru Betiri National Park Reserve. Unfortunately, the protection of the reserve was not enough.

Due to hunting, loss of forest habitat and lack of prey, the number of Javan tigers dwindled. The last members were spotted in the reserve in 1976 and the Javan tigers were officially declared extinct in 2003, joining the ever growing list of recently extinct species